Auteur/autrice : elusecologistes

Janvier 2021 : Conférence : De la fourche à la fourchette : repensons notre modèle alimentaire !

De la fourche à la fourchette : repensons notre modèle alimentaire ! 

Les scientifiques nous alertent depuis des années: les zoonoses sont une des principales sources des maladies émergentes chez l’être humain, puisque 75 % des maladies humaines émergentes sont d’origine animale. Les conditions intensives d’élevage des animaux ainsi que la déforestation sont clairement identifiées comme sources de l’émergence de nouvelles pandémies.

Selon l’association L214, nos incursions dans ces écosystèmes font que nous côtoyons de plus en plus d’animaux réservoirs de virus : les interactions entre animaux sauvages, animaux domestiques, animaux d’élevage et êtres humains sont favorisées par cette proximité que nous provoquons. 

ces faits sont corroborés par Serge Morand, chercheur au CNRS qui explique bien que l’élevage intensif crée de véritables bombes sanitaires : “Il faut vraiment remettre l’agriculture au centre des problèmes, et par conséquent au centre des solutions.»

Or nous le savons et cela doit nous alerter : la réflexion autour des causes et de la prévention des futures pandémies est aujourd’hui absente du débat politique. 

Cela est d’autant plus inquiétant que le coût de l’inaction en matière de pandémie serait cent fois plus élevé que le coût de la prévention.

Changer nos habitudes alimentaires est donc bon pour l’emploi et la planète :nous pouvons réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture française d’ici à 2050 en créant 125 000 emplois en équivalent temps plein en réduisant de 50% la baisse de la consommation de protéines animales. C’est crucial : l’élevage est responsable de 14,5% des GES à l’échelle européenne, ⅓ de la pollution de l’eau, 60% de la déforestation en Amazonie… 

Donc, la réorientation de nos régimes alimentaires vers un modèle plus végétal représente l’un des leviers fondamentaux pour respecter les accords de Paris. C’est d’autant plus urgent dans une ville comme Nice, où le Maire s’est engagé à réduire de 55% les émissions de GES d’ici à 2030 alors qu’il ne s’est rien passé sur ce front-là les 12 dernières années …

Si ces considérations peuvent sembler lointaines, concrètement, notre alimentation impacte notre santé au quotidien. Selon l’Association végétarienne de France, dans les cantines scolaires françaises, on sert au moins deux fois trop de viande et de produits laitiers aux enfants par rapport aux quantités recommandées ; la charcuterie et la viande rouge ont respectivement été classées comme cancérogène et cancérogène probable par l’Organisation Mondiale de la Santé ; le risque d’AVC augmente de 11% dès que notre consommation de viande rouge transformée dépasse 50 grammes par jour. 

Modifier notre alimentation est donc une urgence. Mais c’est aussi une tendance de plus en plus voulue par les Français comme en attestent les choix faits sur les plateformes de livraison, sur lesquelles les individus commandent de plus en plus dans des restaurants végétariens ou vegan. 

Alors que faire ? Comment agir ? Les scientifiques alertent, les agriculteurs aussi. Mais les solutions, on les connaît : sortie de l’élevage intensif, végétalisation d’ampleur de l’alimentation, suppression des importations de produits issus d’élevages intensifs et des produits participant à la déforestation (63 % de la destruction de la forêt amazonienne par exemple, sont dues à l’extension des terres agricoles, que ce soit pour des pâturages, des feedlots ou des cultures destinées à nourrir les animaux d’élevage). 

Alors quelles solutions au niveau local, national, européen ? 

Retrouvez le replay :

https://fb.watch/3aBddGEfOJ/

Requalification du boulevard Gambetta, à Nice : nous déposons une contribution

La ville de Nice a lancé une enquête publique sur la requalification du boulevard Gambetta. Dans ce cadre, les six élus du groupe écologiste ont déposé une contribution.

·  La ville de Nice a lancé, du 15 décembre 2020 au 20 janvier 2021 inclus, une enquête publique sur la requalification du boulevard Gambetta

Dans ce cadre, les six élus du groupe écologiste ont déposé la contribution suivante :

Les écologistes soutiennent le maintien de la piste cyclable sur le boulevard Gambetta. Si son tracé aurait dû se faire bien en amont en concertation avec les habitants du quartier, il est indéniable qu’elle entraîne une baisse de la pollution dans le quartier. Le vélo est une priorité : c’est un mode de transport non polluant, rapide, sain et bon marché. Il contribue à répondre à l’urgence écologique et à l’urgence sociale. Sur les axes structurants de la ville, la possibilité de s’en servir est une nécessité : c’est le cas du tracé de la piste cyclable Gambetta, puisqu’elle structure la ville sur un axe nord-sud, avec environ 2.000 usagers par jour.

Les élus écologistes de Nice soutiennent la première option, celle de la voie cyclable centrale. Cependant, nous demandons des garanties pour la sécurité des cyclistes avant et après le pont sur le Carrefour Gambetta Thiers. Nous demandons également une piste sécurisée pour Gambetta Nord, qui soit donc réellement séparée. Nous demandons également le prolongement de l’aménagement cyclable sur Gambetta au-delà du pont de la voie ferrée et jusqu’au boulevard de Cessole, afin de créer une vraie piste Nord-Sud pour les vélos.

Nous demandons à ce que les arbres existants soient conservés.
 
Par ailleurs, à travers le reste de la ville, iI faut absolument développer des pistes de vélo pérennes et réaliser des aménagements qui permettent de quadriller la ville avec des itinéraires sécurisés, cohérents, attractifs et confortables. Il est également judicieux de promouvoir la pratique du vélo, et ce, dès le plus jeune âge. 

Nous demandons à ce que les arbres existants soient conservés.

Conférence de presse – Faire de Nice une ville végé-friendly ! – 20 janvier 2021

Faire de Nice une ville végé-friendly ! 

Le groupe écologiste demande à ce que la municipalité de Nice devienne une ville officiellement “végé-friendly” à l’image de Gand ou de Barcelone. 

Dans ces villes aussi, les options végétariennes ou vegan étaient peu connues avant la mise en place des options en lien entre la municipalité, les associations concernées, les institutions publiques … Or, modifier nos habitudes alimentaires, est bon pour la planète, la santé et l’emploi.

La réorientation de nos régimes alimentaires vers un modèle plus végétal représente l’un des leviers fondamentaux pour respecter les accords de Paris, mais aussi les engagements de M. Estrosi qui veut baisser de 55% les gaz à effet de serre de Nice d’ici 9 ans – 2030. 

Nous pouvons réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre de l’agriculture française d’ici à 2050 en créant 125 000 emplois en équivalent temps plein en réduisant de 50% la baisse de la consommation de protéines animales. En tant que ville très visitée et qui le redeviendra, nous avons un devoir d’exemple. 

C’est aussi une tendance de plus en plus voulue par les Français : sur Deliveroo par exemple, en 2020, les commandes vegans ont augmenté de 38% sur l’application. 

Alors, comment faire de Nice une ville végétarienne ? 

– Lancement d’une journée végétarienne par semaine (Belgique ; plus de 50% de la population mangent végé le jeudi, les écoles servent végé etc) ; 

– Recensement puis création d’un guide des lieux végés, largement diffusé dans les lieux de promotion du tourisme ; 

– Investissements de la ville pour former (gratuitement) les chefs, ainsi que les enfants et les parents ; 

– Créer des partenariats entre la ville, les associations, restaurants, comme en Belgique ; – Faire une campagne de communication massive de sensibilisation comme à Barcelone ; 

– Végétaliser les réceptions de de la ville et de la métropole ; 

– Encourager à une réduction de la consommation de protéines animales, et à un accroissement de la consommation de céréales complètes, légumineuses, fruits et légumes grâce aux moyens à disposition de la ville ; 

– Proposer une option quotidienne végétarienne dans la restauration publique, ainsi que dans les buffets de la mairie et de la métropole. 

Quels sont les avantages d’une telle décision ? 

– Faire de Nice un modèle à l’échelle française 

– Accroître la visibilité touristique de la ville 

– Sensibiliser la population scolaire et étudiante

– Réduire l’impact carbone de notre ville, surtout au vue de l’engagement de nos autorités 

– Améliorer la santé de nos concitoyens

Article Nice Matin du 21/01/2021

Categories: Janvier 2021, Presse

Conférence – décembre 2020 : ville, liberté, sécurité

Suite au terrible attentat de la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption de Nice et alors que la loi de « sécurité globale » attise les tensions tant au niveau local que national, nous vous convions à une conférence débat pour réfléchir ensemble à une nouvelle politique de sécurité.


Pour cela, nous échangerons avec Mounir Satouri, Député européen Europe Ecologie les Verts, membre de la Sous-commission « sécurité et défense », et Sabrina Sebaihi, Maire adjointe écologiste chargée de la politique de la ville, et de la commission communale de sécurité.

Pour voir la conférence :

https://www.facebook.com/980055812010740/videos/427232684979001

Conférence – octobre 2020 : Tempête Alex : quels enseignements ?

Le groupe des élus écologistes à la Métropole Nice Côte d’Azur organise une conférence-débat exceptionnelle en ligne le 22 octobre à 18h, en présence de Corinne Lepage, ex Ministre de l’environnement, ancienne Eurodéputée, et Présidente de Cap 21.


La conférence sera co-animée par Jean Marc Governatori, co-secrétaire de l’Alliance écologiste indépendante et Hélène Granouillac, fondatrice de Terre Bleue.Suite à la tempête Alex, à ses conséquences humaines tragiques, à son impact économique exorbitant, nous vous invitons à une conférence débat exceptionnelle en présence de Corinne Lepage.

Nous analyserons comment les politiques d’aménagement du territoire ont aggravé les effets des intempéries, ferons un inventaire des projets locaux incompatibles avec l’urgence climatique et explorerons ensemble les solutions pour adapter notre territoire. Rejoignez-nous, posez vos questions, et construisons ensemble le territoire de demain !

Revoir la conférence :

https://www.facebook.com/watch/live/?v=270928544225723&ref=watch_permalink

Visioconférence – Jeudi 21 janvier – 18h30 à 20h – Pour un nouveau modèle alimentaire à Nice !

Pour un nouveau modèle alimentaire à Nice !Les différentes pandémies, zoonoses, la déforestation, les scandales liés à l’élevage intensif démontrent bien l’urgence de réformer notre modèle agro-alimentaire. Nous le savons, l’élevage contribue massivement au dérèglement climatique, il est aussi destructeur pour l’emploi et notre santé. Quelles conséquences exactement ?


Mieux se nourrir, c’est mieux respecter notre planète, notre corps, c’est rendre leur autonomie à nos agriculteurs.Il est urgent d’agir, et nous, citoyens Niçois, avons ce pouvoir de favoriser un modèle alimentaire plus sain et plus responsable ! Comment ?


Venez débattre avec nous, pour définir ensemble un nouveau modèle alimentaire de la fourche à la fourchette

Vos questions par Zoom et Facebook :

Par zoom, inscription préalable :

elusecologistesnice@gmail.com


En ligne avec Facebook Live :

https://www.facebook.com/niceecologique

Categories: Agenda

Conférence de presse – Non à une vidéo surveillance coûteuse et inefficace – janvier 2021

Non à une vidéo surveillance coûteuse et inefficace 

Les problèmes : 

Question du coût : Nous savons qu’il est de plusieurs dizaines de millions d’euros mais nous souhaitons connaître le coût exact. C’est pourquoi, nous demandons un audit : matériel, installation, maintenance, nombre de casses, réparation, nombre d’agents mobilisés dans le cadre du Centre de supervision urbain etc. 

Question de l’utilité

– Les caméras ont un effet dissuasif limité car elles déplacent plus qu’elles ne réduisent la délinquance. 

– Les images ne permettent d’identifier les auteurs que dans 1 à 3% des cas. 

Nos solutions : 

Ce que demandent les écolos pour préserver les libertés et garantir la sécurité des Niçois : 

Arrêter le tout caméra et le tout armement engendre des effets positifs sur le plan économique puisque tous les moyens dédiés à l’armement seraient très utiles pour faire autre chose : prévention, développement des relations partenariales … 

Plutôt que le « solutionnisme technologique » coûteux et inefficace de l’armement et de la vidéosurveillance, nous demandons un rétablissement d’effectifs de terrain formés à la médiation, à la prévention, sensibilisés aux discriminations et à l’égalité femmes-hommes, pour contribuer à l’apaisement des relations entre gardiens de la paix et citoyens, à la reconstruction du lien de confiance et à la réponse aux besoins de proximité. 

Nous préconisons la mise en place du système « un quartier-un îlotier » pour remettre la sûreté au plus près des citoyens et donner davantage de visibilité et de mobilité aux agents ; avec une implantation dans tous les quartiers d’antennes rassemblant les policiers municipaux et les éducateurs de rue

Nous voulons une police de proximité tournée vers les attentes des habitants et non celles des préfets. Nous voulons faire travailler la police municipale en priorité avec l’ensemble des partenaires locaux, comme l’Education nationale, la Santé, les autres collectivités territoriales, les associations. 

Article de cnews du 9 janvier 2021 :

https://www.cnews.fr/france/2021-01-09/nice-les-ecologistes-jugent-la-videosurveillance-inefficace-pour-lutter-contre?amp&__twitter_impression=true

Journal de France 3 édition nice de 08 janvier 2021 :

à la 4.20 min.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/emissions/france-3-nice

Article de Nice Matin du 13/01/2021

Categories: Janvier 2021

Conseil Municipal du 14/12/2020 – Nice Matin du 07/01/2021

Intervention de Jean Christophe Picard lors du Conseil Municipal du 14 décembre 2020

Délibération 8.1 : Attribution de subventions à plusieurs associations relevant du domaine social au titre du budget principal 2020.

Vous proposez d’attribuer des subventions à 4 associations relevant du domaine social, et ça c’est bien !

Mais vous proposez notamment d’attribuer une subvention de 45 000 euros à l’Association « Centre culturel et diaconie Saint-Pierre-d’Arène ».

Cette association est régulièrement destinataire de subventions importantes, dont 1,5 millions d’euros deux mois après sa création, en 2012.

Or, son président a été condamné, lundi dernier, à sept mois de prison avec sursis et à 1 000 euros d’amende pour abus de confiance. Comme il a fait appel, il est présumé innocent mais on ne peut pas faire comme si cette condamnation n’existait pas…

Au regard de l’importance des sommes déjà versées à cette association, nous demandons de sursoir à toute nouvelle aide financière tant qu’un contrôle sur pièces et sur place n’aura pas été diligenté par la ville portant sur l’utilisation des précédentes subventions. Je vous rappelle que ce type de contrôle est prévu à l’article 1611-4 du code général des collectivités territoriales.

Categories: Janvier 2021

Conférence de presse : De l’urgence de construire la résilience du territoire niçois – Nice Matin du 06/01/21

De l’urgence de  construire la résilience du territoire niçois 

L’autonomie alimentaire de Nice est de près de 0%. 35 000 Niçois sont en situation de précarité alimentaire selon la Banque alimentaire. 

Ainsi, en cas de problème des transports routiers mettant à mal l’approvisionnement et / ou de phénomènes climatiques extrêmes, la situation est potentiellement dramatique.

50% des paysans seront à la retraite dans 10 ans. Un tiers des paysans touche 350 eur/mois et l’on compte plus de  2% d ‘exploitations en moins chaque année. 

35 000 Niçois sont en situation de précarité alimentaire selon la Banque alimentaire. 

De moins en moins de paysans, une pénurie de saisonniers, notre forêt qui se meurt, le développement de monocultures … Amènent à des cultures fragiles et à des terres qui perdent en fertilité chaque année. On estime que l’équivalent d’un département en terres fertiles est perdu chaque décennie. 

Ajoutons à cela l’approvisionnement de semences cantonné aux mains de quelques multinationales telles Monsanto, la sécheresse qui favorise les attaques des insectes, ainsi que l’achat des terres par la Chine … La crise alimentaire potentielle nous pousse à agir urgemment. 

Enfin, n’oublions pas que la production agricole française stagne, voire baisse, en particulier pour les produits laitiers, les fruits et légumes et l’ensemble de la filière des viandes. Cette baisse de la production est à mettre directement en relation avec la croissance continue des importations de ces mêmes produits. Les fruits et légumes et les poissons et crustacés sont les produits dont la part importée est la plus élevée, qu’ils soient frais, congelés ou transformés.

Depuis 2000, les importations ont presque doublées en France. Par exemple, plus d’un fruit et légume sur deux consommés en France est aujourd’hui importé, la valeur des importations a été multipliée par deux entre 2005 et 2017 dans le secteur des produits laitiers. 

Pour être plus précis: 40 % et 50 % des tomates, des concombres et des courgettes viennent de l’étranger. 39 % des poires, plus de 40 % des pêches ou des nectarines, et 74 % du raisin de table sont importés.

Categories: Janvier 2021

Conseil Municipal du 14 décembre – L’écologie, c’est comme l’amour, il ne suffit pas de déclaration d’écologie, il faut des preuves d’écologie – Nice Matin du 05/01/21

Intervention de Juliette Chesnel lors du Conseil Municipal du 14 décembre 2020

Délibération 5.1 : Rapport annuel 2019 de développement durable

Mes chers collègues, ce rapport a été présenté en Conseil métropolitain, je ne reprendrai donc pas tout mon argumentaire.

Et c’est vrai que depuis quelques jours, nous avons appris que notre Maire est le 2ème maire le plus écologiste de France.

Alors, que dire ?

L’écologie, c’est comme l’amour, il ne suffit pas de déclaration d’écologie, il faut des preuves d’écologie.

Et pour élaborer des preuves, il faut pouvoir chiffrer les progrès, les avancées.

L’écologie, c’est comme l’amour, il ne suffit pas de déclaration d’écologie, il faut des preuves d’écologie.

Juliette chesnel-Le roux

D’où partons-nous en terme de gaz à effet de serre? Je parle là de toute la ville, depuis l’aéroport, au sud-ouest, jusqu’aux abords de l’autoroute au Nord-Est. Et pas seulement le long de la ligne 2 du Tramway.

D’où partons-nous en termes d’artificialisation nette? Combien de zones bétonnées pour combien de zones préservées ou remise à la nature?

D’où partons-nous en terme d’autonomie alimentaire ? Avec la ZAP de St Jeannet, quel est l’objectif du Projet Alimentaire territorial ? Quel degré d’autonomie alimentaire visons-nous ?

L’urgence climatique a été déclarée enjeu international lors des accords de Paris COP21. 5 ans après, l’urgence est telle que l’Europe vient de s’engager à diminuer ses émissions de gaz à effet de serre de 55 % en 10 ans. C’est un effort énorme, qui nécessite des actions fortes.

Or, vous le savez, la trajectoire tendancielle de Nice Côte d’Azur est déjà très loin de pouvoir atteindre les objectifs du PCAET de -22% de gaz à effet de serre en 2026 . Comment arriverons nous à -55 % en 2030 ?

Alors, Monsieur Chemla, nous comptons sur vous pour les années à venir, soyons ambitieux et soyons rigoureux. Notre Plan Climat Air Énergie Territorial manquait d’indicateurs, construisons les pour les 6 années à venir. Et les actions seront d’autant plus faciles à évaluer. Il y a urgence, plus que jamais notre Maison Brûle !

Categories: Janvier 2021
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