Auteur/autrice : elusecologistes

COMMUNIQUE DE PRESSE du 06/04/2022- Annulation de l’arrêté anti-mendicité

COMMUNIQUE DE PRESSE

L’annulation de l’arrêté anti-mendicité est une victoire symbolique mais le symbole est très important. C’est une grande victoire pour la LDH, la Fondation Abbé Pierre et toutes les autres associations qui œuvrent contre la précarité à Nice.

Même caduc, cet arrêté faisait honte à la Ville de Nice. C’est un arrêté qui était discriminant.  Il était une énième dérive de la « politique de la carte postale » défendue avec tant de zèle par Christian ESTROSI.

Le Maire préfère cacher la misère plutôt que d’y remédier. Cet arrêté est purement révoltant. Les inégalités sociales et la précarité sont le quotidien de nombreux citoyens. Rien qu’à Nice, 74.000 personnes vivent sous le seuil de pauvreté. Ce n’est pas en cachant cette réalité que l’on parviendra avancer. Plutôt que de promouvoir des arrêtés discriminants, il est important que la Mairie de Nice investisse dans des structures d’accueil ainsi que dans une véritable politique sociale. 

Revue presse du 07/04/2022

20 Minutes :

Nice Matin:

https://www.nicematin.com/politique/esperons-que-la-lecon-soit-bonne-un-arrete-polemique-anti-mendicite-de-la-ville-de-nice-annule-victoire-symbolique-des-associations-758555

Categories: Avril 2022

Communiqué de presse du 05/04/2022 : La Métropole championne du greenwashing !

La Métropole championne du greenwashing !

La Métropole championne du greenwashing !

Nous apprenons par voie de presse que la Métropole Nice-Côte-d’Azur (MNCA) a été désignée lauréate de l’Appel à Manifestation d’Intérêt “Territoire Zéro Artificialisation Nette” porté le Gouvernement et l’Agence de la transition écologique. Si cette annonce n’avait pas été faite aussi tardivement, nous aurions pu croire à un formidable poisson d’avril.

Au lendemain de la publication d’un rapport du GIEC qui pointe à nouveau le laxisme des gouvernements en matière de politiques climatiques, il est indécent de qualifier la MNCA de « bonne élève » lorsqu’il est question de désartificialisation des sols.

Nous rappelons que, malgré les apparences, la Coulée Verte n’est rien de plus qu’un jardin posé sur une plaque de béton. La transition écologique ne saurait se limiter à des actions cosmétiques pendant que notre territoire traverse l’un des pires épisodes de sécheresse de ces cinquante dernières années.

M. le Maire se félicite d’augmenter de 70 hectares le nombre de surfaces perméables et végétalisées alors que, dans le même temps, il artificialise et bétonne intensivement 300 hectares de terres fertiles à l’Ouest de la ville, dans la prétendue « écovallée ». Comme bien souvent avec cette majorité, toute cette opération n’est que poudre aux yeux. Mais nous ne sommes pas dupes et les Niçois non plus.

Non, la Métropole Nice-Côte-d’Azur n’est pas « championne de la désartificialisation » comme l’écrivent certains journaux mal informés. En revanche, elle est très certainement championne de la communication.

Categories: Avril 2022

Enquête publique sur le Règlement Local de Publicité métropolitain

Le groupe des élus écologistes au conseil métropolitain Nice Côte d’Azur souhaite apporter une remarque à l’enquête publique concernant le règlement local de publicité métropolitain.

https://www.nicecotedazur.org/actualite/2022/03/07/r%C3%A8glement-local-de-publicit%C3%A9-m%C3%A9tropolitain-ouverture-de-l-enqu%C3%AAte-publique

L’ensemble du dossier est très intéressant et un règlement publicitaire était nécessaire.

Le seul point très contestable concerne les panneaux numériques.

Trop de lieux sont encore ouverts aux publicités numériques de moins de 2m2, jusqu’à 6m2.

Nous demandons l’interdiction des panneaux lumineux sur tout le territoire et pas seulement sur les zones collinaires pavillonnaires tel que défini dans le règlement qui nous est proposé.

En effet, d’une part, l’impact environnemental de ces panneaux numériques est conséquent. Alors que nos engagements nationaux et sur le territoire métropolitain sur la diminution des gaz à effet de serre devrait nous obliger à considérer sérieusement cet impact : 

Une étude de 2020 de l’ADEME propose une évaluation environnementale de panneaux publicitaires numériques (LCD 2m2) en terme d’indicateurs d’impacts, de consommation d’énergie cumulée, d’indicateurs d’utilisation de matière, d’analyse de sensibilité et d’utilisation de durée de vie. L’étude de ces produits a permis ainsi de déterminer leur impact total :  245 eqkgCO2, par année d’utilisation et 8000 kg de matériaux nécessaires pour produire un panneau de 200kg: https://www.ademe.fr/modelisation-evaluation-environnementale-panneaux-publicitaires-numeriques

D’autre part, il ne faut pas négliger l’impact en termes de nuisance sonore. Il est très facile de constater que les panneaux numériques en fonctionnement émettent un grésillement très désagréable pour les riverains notamment les soirs d’été.

Enfin, nous sommes sensibles à l’aspect visuel de ces panneaux numériques, en ville, comme ceux qui cassent la perspective de l’avenue Jean Médecin.

-L’effet perturbateur de ces panneaux, qui détournent l’attention des automobilistes comme celui à la sortie de la voie rapide, avenue Grinda.

-L’effet addictif pour nos plus jeunes enfants, comme à l’arrêt de tramway L2 CADAM.

Pour toutes ces raisons, nous demandons le retrait des panneaux numériques de notre territoire métropolitain.

Categories: Non classé

Consultation Ligne nouvelle PACA

En 1994, de grandes inondations ont ravagé la basse plaine du Var. Il y a peu, la tempête Alex nous a rappelé que la violence des risques naturels y était toujours d’actualité. Nous devons donc aménager notre territoire de la façon la plus intelligente qui soit afin que ces catastrophes ne se reproduisent jamais. 

Parmi les chantiers actuels, la mobilité ferroviaire occupe une place particulière. Or, dans son Avis  délibéré n° 2021-100 adopté lors de la séance du 18 novembre 2021 sur la ligne nouvelle Provence-Côte d’Azur, joint au dossier, l’Autorité environnementale signale plusieurs éléments extrêmement inquiétants. Les élus du Groupe écologiste souhaitent donc attirer l’attention sur le fait que :

  • L’intégralité de la Zac Grand Arenas se trouve en secteur d’aléa fort à très fort de débordement du Var. Or, l’Agence environnementale a recommandé :“d’éviter toute urbanisation dans les zones d’aléa fort ou très fort du scénario moyen du TRI et de conditionner les autres urbanisations à des mesures d’évitement ou de réduction de l’exposition à des crues rapides, et de proposer des mesures de réduction de la vulnérabilité.” 
  • Si la plateforme et la gare sont bien prévues au-dessus de la cote des plus hautes eaux, l’ensemble du secteur – et notamment les accès piétons et le pôle d’échanges – est susceptible de connaître des hauteurs d’eau entre 6 et 9 mètres. Les piliers qui supportent le parvis hors d’eau de la gare routière actuellement en construction seront donc en zone inondable.

  • Comme le rappelle l’Agence environnementale :

“la gare est à cheval sur les zones B2 et B3 du PPR séisme de la commune de Nice présentant en conséquence un important risque de liquéfaction. Pour la gare, la seule application des règles constructives prescrites par le PPR n’est pas suffisante pour démontrer qu’elle résistera à un séisme de référence, qui doit être défini sur la base des caractéristiques des séismes historiques, compte tenu des liens de la gare avec le remblai. Pourtant, l’étude d’impact générale conclut à des incidences résiduelles non notables sans mesure spécifique.”

  • Les possibilités d’effets cumulés sont nombreuses, principalement avec l’ensemble des aménagements de l’OIN de la basse vallée du Var, mais aussi avec l’extension du terminal T2 de l’aéroport de Nice.

Par conséquent, il nous paraît important d’obtenir plus d’informations. Voilà pourquoi nous demandons :

  • Une nouvelle étude d’impact sur l’implantation de la Gare de Nice Saint Sylvestre.
  • Qu’une étude d’impact complète sur le grand Arénas soit liée à cette concertation.
  • Une évaluation des risques sismiques.
  • Une évaluation des risques de submersion marine.
  • Une étude sur le bilan hydrique de la zone.
  • Une évaluation des risques inondations ainsi que d’engager la révision du PPRI sans délai
  • Une analyse des conséquences des aménagements de la Zac Grand Arénas sur la santé humaine et le paysage niçois.
Categories: Non classé

Conseil métropolitain du 11 mars 2022 – Interventions de Juliette Chesnel – Le – Roux

Interventions de Juliette Chesnel-Le-Roux

Conseil métropolitain du 11 mars 2022

4.2 : Levens : abattage de 11 arbres, scénario C

Chers collègues,

Comme Idéfix, le célèbre compagnon d’Obélix, je déteste que l’on coupe des arbres !

On ne coupe pas des arbres centenaires en bonne santé.

Dans ses conclusions du 31 août 2021, le commissaire-enquêteur, Mme Schweitzer,  refuse ce projet et affirme le besoin de mener une nouvelle étude pour concilier la sécurité des piétons sur la RM19 et la préservation des platanes. 

Dans cette délibération, il nous est proposé de reprendre ce projet, dans une version un peu allégée appelée Esquisse C :  11 arbres abattus au lieu de 22. 

Contrairement à ce qu’indique vos considérants, l’enquête publique ne s’est tenue que sur le tracé choisi par la métropole, l’esquisse B. Ni l’étude d’impact, ni le résumé technique n’abordent l’esquisse C.

Il est donc incroyable de proposer en l’état l’esquisse C.

En outre, cette nouvelle proposition ne répond aucunement aux arguments du commissaire enquêteur dont les conclusions étaient accablantes.

En voici des extraits éloquents :

“Il est choquant que cette « mauvaise » idée s’impose au fil du dossier comme un fait incontournable. “

“Je suis opposée à ce projet (dit-elle aussi), qui n’a été travaillé que dans l’optique de construire des trottoirs sur cette zone précise, en chaussée Ouest et qui prétend sauvegarder le paysage et préserver la biodiversité en abattant les arbres et en les remplaçant par des arbrisseaux et des nichoirs, à des endroits qui seront déterminés ultérieurement.” 

elle confirme :   “Je pense qu’il faut mener une nouvelle étude avec des paysagistes et des urbanistes répondant à la commande de concilier la préservation de la nature et la sécurité des piétons. “

Vous aurez beau nous dire que cela est validé par des avocats, cela est tout bonnement inacceptable.

Cette décision d’abattre des arbres contre l’avis des autorités est honteuse.

Nous demandons un nouveau projet qui préserve les platanes en bonne santé. Ainsi qu’une nouvelle étude environnementale et une nouvelle enquête comme le demandent les autorités, puisque les études ne concernaient pas l’esquisse C qui nous est présentée ici.

Puisque j’ai commencé en me référant au chien Idéfix, qui pleure les arbres coupés.

Je voudrais conclure en citant M Goscinny et son vieux pirate unijambiste et latiniste, ”errare humanum est, perseverare diabolicum”.

Nous voterons contre ce projet et vous conseillons de revoir votre copie.

102.1 : Parc des Expositions . Concession d’aménagement

Monsieur le Président, chers collègues, je ne reviendrai pas sur les raisons qui nous amènent à voter contre ce projet. Je vais finir par vous lasser !

Je me permets de vous présenter le Palais des Congrès de demain. Et si vous le permettez, j’aimerais beaucoup vous en faire la visite guidée.

Entrons dans ce palais décoré par un grand architecte.  Une fois que vous êtes à l’intérieur, vous y trouverez :

o 38.000m2 d’espace modulable

o 4 auditorium allant de 250 à 2500 places, dont une salle de 750 places.

o 50 salles de réunions allant de 20 à 800 places

o 4 espaces d’exposition de 1800m2 à 12.000m2, tous à la lumière du jour. Vous la voyez ? Là, tout autour.

o Plus loin, il y a aussi une terrasse de 2000m2 à usage polyvalent.

o Bel espace restauration

o Logistique accessible

o Équipé de WIFI et de la fibre depuis 2019.

o Accès direct au cœur du périmètre Unesco, proche des points d’intérêts historiques et culturels et des commerces, accessible par le tramway, à 5’ de la mer.

Quel beau projet Monsieur Estrosi, que celui-ci !  Mais je vois à vos têtes, que certains d’entre vous, ont compris la finalité de mon propos. Évidemment, vous l’avez compris, je vous ai présenté l’Acropolis. Qui existe déjà, et qui a été rénové en 2019.

Alors pourquoi ce rappel des caractéristiques de l’Acropolis ?… Tout simplement parce que vous nous proposez la même chose mais à l’extérieur de la ville.  

Peu ou prou le même nombre d’espace fonctionnel, une salle de 2500 places et une salle de 750 pour les deux. Deux fois moins de salles de réunions pour le PEX, les mêmes services, les mêmes fonctionnalités.  

En fait, vous demandez à la Métropole de reconstruire à l’Arenas ce qui existe déjà, et qui fonctionne très bien, dans le centre-ville de Nice. Le tout pour un montant initial de 159M€ ! 

Détruire pour reconstruire à l’identique c’est un gaspillage financier et écologique. Et ce n’est pas quelques jolies surfaces de gazon synthétique qui compenseront ce gâchis. 

Conseil métropolitain du 11 mars 2022 – Interventions de Fabrice Decoupigny

Intervention de Fabrice DECOUPIGNY – Conseil métropolitain du 11/03/2022

2.2 Budget primitif – Exercice 2022 – Budget principal

Monsieur le Président 

Vous nous présentez votre budget et c’est sans grande surprise que nous l’avons découvert. En regardant votre tableau des autorisations de programme, vous dites que l’Agriculture métropolitaine et les actions de développement économique pour le Haut-Pays sont des priorités en affichant 16,8 millions d’euros, mais en réalité dans le budget vous ne prévoyez que 1,3 millions pour l’achat de terrains agricoles. En fait, il faudrait décupler ce montant pour qu’une politique d’agriculture métropolitaine soit efficace. 

Concernant le logement, c’est toujours la même chose. Alors que nous devrions budgéter 17 millions pour financer les 1721 logements sociaux par an comme le prévoit le PLH, vous continuez à limiter de moitié la production de logements sociaux.

Cette année on connait même une baisse du financement du logement social, passant de 8,4 millions inscrit au budget de 2021 à 6,8 millions pour cette année : soit une baisse de 20%. 

Une politique de limitation de construction de logement sociaux que vous renforcez en supprimant les AP d’achat foncier pour le PLH. 

Comment peut-on construire des logements sociaux sans avoir une politique foncière ? Sincèrement ça me dépasse. 

Je comprendrais cette politique si nous avions plus de 25 % de logements sociaux, mais ce n’est pas le cas : on en a à peine la moitié soit 12,5% 

De plus on pourrait à la rigueur accepter cette politique d’austérité sur le financement du logement social si nous étions dans une situation financière difficile mais ce n’est pas le cas au vu des projets pharaoniques que vous engagez à Nice. 

Si on plonge dans les chiffres de votre maquette budgétaire, on trouve quelques pépites : En effet, certains financements récurrents au fil des années ne souffrent pas d’austérité, vous continuez à donner 2 millions d’euros au grand prix de France au Castellet et à financer les stations du Mercantour à hauteur de 5,4 millions par an, soit un total de 7,4 millions d’euros de plus que le financement du logement social. 

Vous comprendrez alors que nous ne pouvons pas voter un budget qui considère que le ski et la formule 1 sont plus importants que le logement social dans une métropole où 20% de la population vit sous le seuil de pauvreté.

Conseil métropolitain du 11 mars 2022 – Interventions de Sylvie Bonaldi

22.1 La Gaude – Zone d’aménagement concerté Le Hameau de La Baronne – Approbation du dossier de création – Avis de la Métropole.

ZAC La Baronne : pourquoi dire,, dans la présentation du projet, comme dans tous les aménagements prévus sûr les terres initialement agricoles de la Plaine du Var, « restaurer, préserver et valoriser ce territoire qui est exceptionnel mais aujourd’hui altéré » mais encore « un territoire qui est aujourd’hui affecté de désordres accumulés au fil des décennies ».  Si ce territoire est exceptionnel, c’est par la richesse de sa biodiversité, par la fertilité de sa terre grâce aux limons, par la douceur du climat qui permet une production abondante toute l’année, par la qualité et l’importance de sa nappe phréatique. Toutes qualités que ces projets altèrent. Et par ailleurs, et pourtant, les désordres perdurent : constructions illégales sur terres agricoles.

L’autorité environnementale recommande d’améliorer l’étude sur la vulnérabilité de la ressource en eau et la biodiversité, précisant pour la première, qu’une partie des ressources en eau de la Métropole venant de la Vésubie n’est plus accessible depuis la tempête Alex. L’impensable est possible. La préservation de la ressource en eau n’est toujours pas une priorité de la Métropole !

Sur une partie du périmètre du projet (5 hectares ), se trouvent 3 exploitations agricoles, vouées donc à disparaître. L’Ae cite pour ce secteur le sacrifice d’une production agricole à haute valeur ajoutée, induisant également une perte de captation de carbone. Ce fait éloigne la production du lieu de consommation, et donc allonge les distances nécessaires pour l’approvisionnement de la population : cela prend tout son sens aujourd’hui avec le conflit en Ukraine, le coût du carburant et la moindre dépendance alimentaire qu’il faut rechercher car l’impensable est possible.

Ce projet ne respecte pas sur la Métropole l’objectif de « zéro artificialisation nette ».

Pour l’énergie, le dossier n’est pas très sérieux : notamment prévoir un réseau de chaleur tiré de l’activité du MIN, aléatoire et pas forcément pérenne et qui engendrera une redevance pour les habitants au lieu de privilégier le solaire thermique , énergie gratuite une fois l’investissement réalisé !

Pouvons-nous peut-être accorder une qualité paysagère à ce projet avec un maintien minimum des espaces naturels. Aujourd’hui ce sont essentiellement des plantations d’agrumes et d’avocatiers…  Mais qui voudra habiter dans ce secteur avec vue sur le MIN si toutefois son déplacement à La Baronne a bien lieu ? La nuisance sonore et lumineuse ainsi que l’impact sur la qualité de l’air du trafic généré par cette activité ?

22.2  Opération d’Intérêt National (OIN) – Avis sur la création, le renouvellement et la suppression de diverses zones d’aménagement différé (ZAD) situées dans le périmètre de l’OIN.

Je n’évoquerai que la ZAD Lingostière : 23 hectares, dont 90% environ ENCORE de pleine terre. L’objectif « zéro artificialisation nette » semble perdu d’avance puisque le droit de préemption urbain servira à y implanter des activités artisanales et industrielles, quelques logements et des infrastructures de transports.

Ce territoire abrite notamment parmi les espèces protégées  la Cisticole des Joncs, de la famille des passereaux.  

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